Tropical Influences : la passion de Frank Jouret pour les hamacs.

Qui est Frank Jouret ?

Je m'appelle Frank Jouret et j'ai créé "Tropical Influences" en 1988. Ma passion étant jeune était le surf. Je passais de nombreux mois à travers le monde en quête de jolies vagues. Ce sport m'amena un jour de 1986 dans le village de la Tixcla sur la côte pacifique de l'état de Colima au Mexique. Pour pouvoir séjourner dans ce village isolé qui n'avait ni l'eau, ni l'électricité, les Mexicains nous ont proposé des hamacs et des palapas, sortes de petits abris en cloisons de tressages de feuilles de palme. J'ai alors découvert le bonheur de ce lit et petit à petit la passion de cet objet millénaire allait m'emporter dans une aventure qui aujourd'hui encore n'est pas terminée !

Frank Jouret à la tête de Tropical Influences depuis 1988

Du Mexique au Brésil en passant par les Philippines pour tomber amoureux des tropiques.

En 1988 un petit héritage de 4000€ (merci à mon papi du Tarn) plus quelques économies m’ont permis de me lancer dans le commerce. Je donnais le nom de Tropical Influences à mon entreprise, car je sentais bien que mon cœur, bien que moitié Belge, avait une bonne partie qui battait au rythme des tropiques. Je retournais au Mexique pour y acheter des hamacs mais aussi au Brésil pour des tongues, des bikinis et des shorts de surf ! Cet été là, novice en matière de commerce, je perdais toute ma fortune. Sur les marchés des Landes le hamac était une attraction, car peu de gens en avaient déjà vu ! Parmi tous mes articles, le hamac fut l’objet qui se vendait le mieux et désormais on me verrait tous les étés sur les marchés d’Hossegor de Seignosse et de Vieux Boucau avec un stand de hamacs.

Rapidement et grâce à d’autres produits artisanaux importés des Philippines, je me remets sur pied. Pendant une longue période, j’allais aux Philippines pour y faire fabriquer des cadrans de montres réalisés en marqueterie à base de matières naturelles. Sur commande d’une grande marque française de montres rencontré sur le salon du Bijorca à Paris (Pierre Lannier, marque française plus connue à l’étranger) mon fabriquant philippin était le seul à pouvoir fabriquer ce cadran, moi j’étais le seul à pouvoir leur fournir et eux-mêmes les seuls à pouvoir vendre ces montres-là ! Ce fut le début d’un bel eldorado pour tout le monde, l’état bien entendu prend la plus belle part du gâteau, mais ce monopole me permit aussi d’augmenter le prix payé aux Philippins. De ce fait, les artisans qui étaient rémunérés à la pièce, travaillaient de manière plus détendue et de temps en temps étaient heureux de me montrer leurs dernières acquisitions, comme cet artisan qui un jour me fit pleurer en me montrant une moto et en me disant « c’est les cadrans de montres ». Je me souviendrais toujours du patron de cette fabrique (150 artisans) qui, étonné de voir un client augmenter lui-même le prix? me dit « That was a very good move ». Nemesio Maluya, je ne t’oublierais jamais car moi aussi je te dois beaucoup. Suite à cela, ma règle du commerce deviendra : « chez moi, tout le monde devra avoir le sourire. Depuis le client final, jusqu’à celui qui a fabriqué le produit. Toute la chaîne doit avoir le sourire. » . A cette époque le terme de « commerce équitable » n’était pas encore d’actualité, mais il était déjà ma philosophie de vie.

La passion du hamac : le choix des hamacs haut de gamme.

À une époque, je gagnais tellement bien ma vie avec ces articles Philippins (cadrans de montres faits main), que je me permettais de voyager uniquement pour ma passion du hamac. Dans les villages de pure tradition, j’achetais les plus beaux hamacs que je trouvais. Je n’avais aucune pression économique, je pouvais les acheter même si je ne les vendais pas. Mais peu à peu, ces beaux modèles ont commencé à intéresser de plus en plus d’acheteurs en France et je me suis mis à les vendre. Aujourd’hui les fabricants m’apprécient, car ils savent que je recherche du haut de gamme, de la belle qualité. Ils me disent toujours, « les étrangers n’achètent pas autant de beaux modèles que toi. Ils achètent toujours ce qu’il y a de moins cher » ! Nos plus beaux hamacs se trouvent dans notre rayon hamacs de luxe.

Modèle de hamac haut de gamme

Tropical Influences : boutique de hamacs dans les Landes et e-commerce.

Aujourd’hui et après 32 ans d’activité en 2020, Tropical Influences est une boutique de 100m² située à Ondres près de Bayonne. Les locaux connaissent bien ce magasin qui avait ouvert pour la première fois à Labenne en 1993. Avant cette date, j'écumais les marchés et foires des Landes. J'ai même fait un stand de hamacs aux puces de Clignancourt !! En 2001 nous avons ouvert notre site Internet et c'est cette nouvelle étape qui nous a permit de nous ouvrir à la France entière. Tropical Influences est une petite entreprise qui emploie 3 salariés. Les temps sont durs car la concurrence est rude mais nous avons une longueur d’avance, de l’expérience, la foi, de l’ancienneté et du métier dans les pattes comme on dit !

Où acheter un bon hamac ?

Sur notre site Internet uniquement avec une possibilité pour notre clientèle locale de clic & collect dans notre entrepôt situé à Tarnos au 266 bis av Marcel Paul (derrière le garage Peugeot). Pour ce qui est de nos hamacs en ligne notre adresse est www.tropical-hamac.com et pour tout savoir sur notre univers, notre blog vous donnera tous les bons secrets : www.tropical-hamac/blog

Des hamacs écologiques et équitables.

Fier de notre esprit écolo, engagé et d'agir dans le domaine du développement durable, Tropical Influences s'est vu décerner le Trophée des Commerçants et artisans landais par la Chambre de Commerce et d'Industrie des Landes le 28 sept 2013 dans la catégorie Developpement durable. Visitez notre rayon de hamacs écologiques. En 2017, séduits par notre démarche écologique, nous sommes devenus partenaires de Nature & Découvertes. L'aventure continue...